L’association One Voice prise en flagrant délit de tentative d’intimidation des pouvoirs publics

Paris, le 1 juillet 2019

Militants vegans et animalistes :

L’association One Voice prise en flagrant délit de tentative d’intimidation des pouvoirs publics
La Fourrure Française révèle la supercherie et appelle à respecter le cadre des travaux prévus par le Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire

Oui au débat, oui à la prise en compte des sensibilités de toutes les parties, non à la manipulation et aux tentatives d’intimidation !

Une démarche assumée de prise en otage du travail des pouvoirs publics

Dans un email du 26 juin 2019, une responsable de One Voice écrit noir sur blanc vouloir diffuser une vidéo, probablement tournée dans la première quinzaine de juin, « le 2 juillet à 6h », soit la veille d’une réunion devant se tenir avec « le ministre de Transition écologique et solidaire François de Rugy » (cf. captures d’écran de l’email diffusé sous embargo à des militants et journalistes).

Cette vidéo, et tout son dispositif de lobbying, est conforme aux modalités d’action et de manipulation habituelles des militants vegans : mélange d’images authentiques et d’images retravaillées ou insérées, jeu sur l’émotion, violence ou effraction, utilisation de termes impropres, etc.

Ici pour la première fois, l’objectif est clair et assumé : la déstabilisation du cours serein des discussions sur le bien-être animal initiées par le Ministère de la Transition écologique et solidaire. La filière fourrure n’est d’ailleurs pas la seule visée puisque les professions du Cirque sont simultanément la cible d’attaques identiques.

Des groupes de pression qui veulent se substituer aux pouvoirs publics et imposer leur loi

Dans son communiqué, One Voice précise avoir lancé un « audit » avec « une équipe d’inspecteurs ». Mais cet audit n’a aucune valeur légale et est le fait de militants de la cause animale qui cherchent à se substituer aux pouvoirs publics. Il s’agit d’un audit par effraction, de vidéos mensongères, d’une orchestration médiatique visant à faire pression sur le Ministre de la Transition Écologique et Solidaire.

Dès vendredi dernier, La Fourrure Française a alerté sur la manipulation en cours et a diffusé un premier communiqué de presse : deux effractions ont été constatées dans un élevage d’Eure-et-Loir au mois de juin pendant une période de quarantaine où certains visons étaient malades. Suite à ces intrusions, l’éleveur s’est rendu au commissariat et a déposé une main courante.

Dans la vidéo, que s’est procurée La Fourrure Française, figurent des animaux morts depuis plusieurs jours alors que ceci est strictement impossible, l’éleveur inspectant quotidiennement toutes ses cages sans exception – et plus scrupuleusement encore en période de quarantaine.

Ces nombreux passages vidéo ne peuvent donc pas avoir été tournés dans l’élevage français mis en accusation par les militants radicalisés. Tous les animaux décédés suite au problème sanitaire ont été récupérés par l’éleveur et placés en chambre froide pour être examinés par les services vétérinaires. Aucun animal ne présente un état de décomposition ou de détérioration tel que présenté par One Voice. Les services vétérinaires se rendront sur place demain.

Le 21 mai dernier, avant l’apparition de la maladie, l’élevage avait déjà fait l’objet d’une visite de contrôle des autorités vétérinaires et aucune anomalie sanitaire n’y avait été repérée.

La Fourrure Française dénonce encore une fois les agissements délictueux et violents des militants animalistes récidivistes et compte bien apporter au Ministère les preuves de la tentative de déstabilisation du débat sur le bien-être animal ouvert par François de Rugy.

La Fourrure Française assume ses responsabilités et accompagne les élevages pour les aider à adopter les meilleurs niveaux de qualité, de bien-être et de sécurité sanitaires des animaux. Elle dénonce toute tentative d’intimidation, de manipulation de l’opinion et de pression sur les pouvoirs publics.

Centre National d’Information sur la Fourrure
à suivre

Montage truqué, effraction, mensonges, fausse vidéo et vrai lobbying animaliste : les dessous de l’affaire de la ferme de visons d’Eure-et-Loir

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